« Li fè lanmou bè, li fè lanmou dous, li fè lanmou pro. Li gen on jan li jéré mwen, menm Bondye pap dakò ! »
Vous est-il déjà arrivé de rencontrer quelqu’un du sexe opposé avec un physique presque parfait, une belle personnalité ? Si oui, aviez-vous déjà envisagé d’entreprendre des relations plus qu’amicales avec cette personne ? Et ça a marché ?
Je m’appelle Karma Lambert et je vais vous raconter comment je me suis fait baiser, au sens propre du terme. J’avais 20 ans, je venais de m’installer définitivement dans les Antilles plus précisément dans le Département de l’Ouest d’Haïti où j’allais vivre en collocation avec une amie, Yara. Nous habitions au dernier étage d’un joli appartement situé dans un quartier résidentiel de la Capitale. La vue que nous offrait notre appart régnait sur tout le quartier. Le jour même de notre emménagement j’ai fait la rencontre d’un garçon, Trevor.
Trevor avait une peau de couleur vanille caramélisée, un très joli visage, de mignons petits yeux, de grosses lèvres bien pulpeuses, une barbe un peu négligée, un sourire super sexy, un corps bien musclé, et le charme qui va avec. Sa bouche laissait deviner qu’il embrassait aussi bien en haut qu’en bas. Je lui ai filé mon numéro juste parce que Yara et moi étions nouvelles dans la région et que ce serait chouette pour nous d’avoir l’aide de quelqu’un.
Et comme on l’espérait, il nous a fourni le soutien nécessaire. Et pendant ce temps, lui et moi étions devenus de vrais amis : nous étions si proches que tout le monde croyait qu’on sortait ensemble. Ce n’était que des rumeurs. Cependant, il essayait toujours de me séduire une fois de temps en temps, il essayait toujours de m’embrasser quand on n’était que tous les deux. Alors qu’en vrai, il me voulait surtout dans son pieu.
Après environ huit mois à essayer de me convaincre qu’il n’avait pas de copine, j’ai fini par gober son histoire: une partie de moi me disait de me lancer car j’en avais rien à perdre ; pis il y a cette petite voix dans ma tête qui me répétait sans arrêt que j’allais faire une grosse bourde. Je ne l’ai pas écouté.
Entre temps j’ai commencé à avoir des sentiments pour lui : c’est peut-être parce que de fois je lui demandais des trucs complètement stupides et insensés et il les faisait. Il faisait quasiment tout pour moi, je n’avais qu’à ouvrir la bouche. Il avait toujours du temps pour moi, beaucoup de temps. On était ensemble à longueur de journée, j’en avais jamais marre de lui. On se disait absolument tout, on se racontait nos passés, nos projets futures et nos vies de rêve. Et c’est ainsi qu’un jour, j’ai fini par lui offrir mes poils. Bien que ça ne soit pas facile de l’avouer et que je lui ai toujours dit le contraire, j’avais envie de lui aussi.
On était que tous les deux chez moi, mon décolleté était super plongeant. Il a essayé de m’embrasser à plusieurs reprises et je l’ai évité à chaque fois, mais ça n’avait pas d’importance vue que j’ai fini par l’embrasser. Quelques secondes plus tard, sa bouche suçait mes mamelons. Je ne l’ai même pas interrompu. Il m’a fait un cunnilingus qui n’avait rien de particulier : Je dis ça parce qu’on dirait qu’il n’a fait que contourner mes petites lèvres avec sa langue. Ça ne m’a procuré aucun plaisir particulier. J’étais déçue.
Ensuite j’ai léché son priape lentement afin d’y ajouter un peu de salive avant de le prendre à pleine bouche et de commencer à sucer. J’ai comprimé mes lèvres autour de son braquemart en l’oscillant. Tantôt la totalité de la longueur de l’engin était dans ma bouche comme si je voulais avec ; tantôt c’était hors de ma bouche et je l’asperger de salives à nouveau. J’ai dû le lier la bouche car il gémissait tellement qu’il me déconcentrait. Ensuite j’ai tenu son zgeg dans ma main, comme si je le branlais. Et en même temps, j’aspirais son gland avec une telle pression qu’on dirait que je voulais lui débarrasser de tout liquide contenu dans cette partie de son corps. Pis j’ai recommencé. C’était un peu stressant pour moi aussi car c’était la première fois que j’avais mis un pénis dans ma bouche. Mais je m’en étais très bien sortie et j’en suis fière.
A suivre…