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Home Éditorial

Éditorial: ces artistes qui pensent que tuer est un acte normal en Haïti!

Franciyou Germain by Franciyou Germain
January 31, 2022
in Éditorial
0
Éditorial: le coup d’état du 7 juillet se précise… Ariel Henry et Frantz Elbé sous la loupe  

Cette semaine, la population haïtienne a été choquée par le meurtre d’un jeune mécanicien à Canapé Vert, pour une histoire de parking. Vertil Elie, 30 ans, a été abattu d’une balle à la tête dans la soirée du 26 janvier par un individu, que des témoins ont identifié comme le policier et rappeur du groupe Barikad Crew, connu sous le sobriquet de Kondagana. Selon eux, l’artiste aurait demandé à la victime de déplacer sa voiture pour lui faire de la place, ce que le jeune homme a refusé et Kondagana lui aurait lancé une boisson alcoolisée en plein visage avant de l’abattre.

Pour sa défense, Jean Josué Clotaire alias Kondagana, a affirmé qu’il était en service au moment du drame. Mais des lanceurs d’alerte comme John Colem Morvan et Teriel Thélus avancent que l’artiste était absent à son poste ce jour-là et que c’est seulement après le crime qu’il a signé dans le cahier de présence. En réalité, c’est une enquête facile que les spécialistes de la Police Nationale d’Haïti peuvent élucider en quelques heures seulement.

De notre côté, nous condamnons le fait qu’un artiste et influenceur comme Fantom banalise le meurtre d’un jeune à ce niveau pour essayer de défendre l’autre chanteur de Barikad Crew et parrain de son enfant. « Si vraiment il a tué cette personne, c’est que cette personne l’a mise dans cette position et je me range de son côté, au diable ceux qui sont fâchés… », écrit Fantom sur sa page Facebook. Comme si le fait de tuer est devenu normal en Haïti.

En dehors de ses activités musicales et commerciales, Daniel Darius (Fantom) est accusé d’être l’un des plus puissants chefs de gang de Baz Pilat, un gang composé de policiers corrompus et de bandits proches du pouvoir en place, qui opère dans la partie Sud de Port-au-Prince.

Selon la Fondasyon Je Klere, La Direction centrale de la police judiciaire avait mentionné le nom de ce gang dans un rapport, vieil de 2005. Jusqu’à présent, aucune victime n’a porté plainte pour Fantom et pour ses présumées activités criminelles, mais dans le temps, il était toujours accompagné de policiers criminels, comme l’ex policier Ti Greg qui est aussi le parrain d’un de ses enfants. Pour couvrir ses arrières, le rappeur prône toujours qu’il est une figure publique et se voit dans la nécessité de collaborer avec tout le monde.

Selon plusieurs sources, après l’annulation de son visa américain, Fantom s’est réfugié en République Dominicaine pour fuir la nouvelle guerre entre Baz Pilat et le gang de Grand Ravine. Donc, il est tout à fait normal que la Police Nationale d’Haïti enquête sur les mouvements de ce rappeur, car nous devons cultiver la politique tolérance 0 pour les bandits, quel que soit leur titre ou rang.

Fantom n’est pas le seul influenceur suspecté d’avoir des relations étroites, avec des gangs, il existe d’autres artistes sur le marché qui font la promotion d’un criminel comme Izo, d’autres qui font partie de gangs armés, ou des groupes compas dans le temps qui faisaient la promotion des narcotrafiquants. Comme le groupe compas Djakout qui saluait des caïds comme Fizi Bwa et Sonson La Familia.

Non seulement nous considérons l’influence de Fantom sur la jeunesse haïtienne comme alarmante et dangereuse, mais nous pensons aussi que le chanteur de Barikad Crew doit voir un psychologue en toute urgence, car il n’est pas dans ses états.

© Tous droits réservés – Groupe Média MAGHAITI 2022

 

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Fondateur du Groupe Média MAGHAITI Fondateur de l'Association Haïtienne des Médias en Ligne Journaliste, photographe, graphiste, vidéaste, webmaster, gestionnaire, infopreneur

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