Le rapport 2020 sur les droits de la personne en Haïti dénonce les violences faites sur les minorités visibles en particuliers les femmes et les enfants.
Viols, violences familiales harcèlement sexuel, discrimination, maltraitance d’enfant, mariage précoce et mariage forcé, exploitations sexuelle des enfants, enlèvements internationaux d’enfants… tels sont les maux que décrivent le rapport qui sont souvent banalisés et ignorés par la justice haïtienne.
Soulignons que Selon un RNDDH, 20 femmes ont été victimes de viols à Cité Soleil entre mars et juillet 2020. Cependant, dans une autre affaire de viol collectif, une victime a déclarée que ses agresseurs se réclamaient de la fédération de gang dénommée G9.
A rappeler qu’une femme de 29 ans a été tuée puis décapitée par son mari dans la nuit du mardi 22 juin dans la localité Sicot à Carrefour-Feuille dans la commune de Port-au-Prince, et qu’aucune arrestation n’a été faite dans cette affaire.
Photo: hrw.org