Le secteur de la photographie en Haïti a bien compté des noms de plusieurs hommes dans son palmarès. Tara El figure parmi ces femmes photographes qui se livrent corps et âme à ce métier. Et pour fêter ses 30 ans, madame, vêtue de rouge, s’est offerte une séance de photo digne de son talent. Le rouge, pour le feu de passion qui brûle en elle pour la photographie, et aussi, pour montrer un tout autre visage de la femme qui tire les ficelles derrière Ayiti Foto Fest. 
Diplômée en journalisme, photographe à succès, initiatrice de Ayiti Foto Fest, actrice à la compagnie de théâtre AMI, Tara Etienne Levros a déjà entamé une belle carrière à l’aube de sa trentaine. Son rêve de devenir une grande designer l’a encouragée à intégrer le secteur de la mode et de la photographie. « J’aime ce que je fais et je ne me vois pas œuvrer dans un secteur qui n’a pas rapport avec l’art et la culture d’où mon refus catégorique d’exercer en tant que journaliste-communicateur depuis l’obtention de mon diplôme il y’a neuf ans (rire) », nous confie-t-elle. La jeune entrepreneure ne compte pas changer de cap. Sinon que de continuer à œuvrer dans le social à travers d’autres activités culturelles et à promouvoir le talent d’autres jeunes. « Je suis bien à ma place et dans ma peau », renchérit-elle.

Accompagnée de photographes de renom, Tara El compte donner un aspect plus commercial à la photographie. Ainsi, en 2017, le festival de la photographie “Ayiti Foto Fest” vit le jour. Ensuite, diverses autres activités ont pu émerger dans le secteur dont “Haïti Meet and Greet” avec les photographes Stephane Bazin et Jameson Thermitus et dernièrement, l’exposition “ Faces of Haïti” pour ne citer que celles-là. Ces événements ont permis au public haïtien en général de voir la photographie sous un autre angle.
Pour ce nouvel an, Tara El ne compte pas chômer. « Mis à part la 3ème édition du festival de la photographie, deux expositions différentes sont déjà en préparation. L’une pour bientôt, en collaboration avec l’association socio- culturelle “ Passage Haïti “ dirigée par Ginite Popote ( Le titre sera bientôt dévoilé) et le second en fin d’année, tous deux feront l’objet de quelques exhibitions dans deux ou trois pays de l’Europe dont le Luxembourg et la Belgique. » promet-elle.
2019 annonce une révolution dans le secteur de la photographie numérique. Une nouvelle ère. Quoi de plus noble pour Tara El de pouvoir fêter ses trente ans le 4 janvier dernier en étant sous le projecteur des photographes comme Gadi Maciaq, Hugue-Robert Marsan, Valery Pétion et Ludner Junior Desvarieux. Maquillée par Lucson Brivard, elle a même eu droit à son Digital Painting avec Francisco Silva et Olivier Arsene Ganthier ( Oliga ). On attend tout ce qu’il y aura d’excitant chez cette femme qui peut faire de la magie avec la photographie !

Diplômée en journalisme, photographe à succès, initiatrice de Ayiti Foto Fest, actrice à la compagnie de théâtre AMI, Tara Etienne Levros a déjà entamé une belle carrière à l’aube de sa trentaine. Son rêve de devenir une grande designer l’a encouragée à intégrer le secteur de la mode et de la photographie. « J’aime ce que je fais et je ne me vois pas œuvrer dans un secteur qui n’a pas rapport avec l’art et la culture d’où mon refus catégorique d’exercer en tant que journaliste-communicateur depuis l’obtention de mon diplôme il y’a neuf ans (rire) », nous confie-t-elle. La jeune entrepreneure ne compte pas changer de cap. Sinon que de continuer à œuvrer dans le social à travers d’autres activités culturelles et à promouvoir le talent d’autres jeunes. « Je suis bien à ma place et dans ma peau », renchérit-elle.

Accompagnée de photographes de renom, Tara El compte donner un aspect plus commercial à la photographie. Ainsi, en 2017, le festival de la photographie “Ayiti Foto Fest” vit le jour. Ensuite, diverses autres activités ont pu émerger dans le secteur dont “Haïti Meet and Greet” avec les photographes Stephane Bazin et Jameson Thermitus et dernièrement, l’exposition “ Faces of Haïti” pour ne citer que celles-là. Ces événements ont permis au public haïtien en général de voir la photographie sous un autre angle.
Pour ce nouvel an, Tara El ne compte pas chômer. « Mis à part la 3ème édition du festival de la photographie, deux expositions différentes sont déjà en préparation. L’une pour bientôt, en collaboration avec l’association socio- culturelle “ Passage Haïti “ dirigée par Ginite Popote ( Le titre sera bientôt dévoilé) et le second en fin d’année, tous deux feront l’objet de quelques exhibitions dans deux ou trois pays de l’Europe dont le Luxembourg et la Belgique. » promet-elle.
Malgré le fait qu’elle est très demandée sur le marché , Tara ne négligera pas son bébé : Ayiti Foto Fest. « Je ne cesserai de me démener à donner le meilleur pour la réalisation du festival de la photographie qui jusqu’ici est une référence dans le secteur. », nous dit-elle fièrement. Ayiti Foto Fest, cette année, sera à sa troisième édition au mois d’août. Comme voulu, les dates respectives pour ce festival doivent faire l’objet d’un rendez-vous annuel, donc aucun changement pour les dates. Le public pourra s’attendre cette fois-ci à la participation d’autres pays. Il sera accentué sur des échanges de concepts dans le domaine de la photographie d’un pays à un autre. Vu la participation en grand nombre de jeunes intéressés au métier l’année dernière ( plus de 50 jeunes par atelier ) , les organisateurs pourraient accorder des résidences allant de 1 à 3 mois à ces photographes en herbe. « Je peux d’ores et déjà confirmer que les prises de contacts pour les supports financiers sont déjà en cours, et donc, beaucoup d’entre nous prient pour que la situation du pays ne se dégrade pas et ne fasse pas obstruction à nos engagements. Nous voulons une meilleure année que celle qui a précédée 2019 pour de meilleures productions ! », affirme l’initiatrice du Festival.


2019 annonce une révolution dans le secteur de la photographie numérique. Une nouvelle ère. Quoi de plus noble pour Tara El de pouvoir fêter ses trente ans le 4 janvier dernier en étant sous le projecteur des photographes comme Gadi Maciaq, Hugue-Robert Marsan, Valery Pétion et Ludner Junior Desvarieux. Maquillée par Lucson Brivard, elle a même eu droit à son Digital Painting avec Francisco Silva et Olivier Arsene Ganthier ( Oliga ). On attend tout ce qu’il y aura d’excitant chez cette femme qui peut faire de la magie avec la photographie !